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3.8.2 : Exemple de résumé - « Typographie et identité »

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    Alternative aux médias

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    Essai Z

    Anglais 1C

    Professeure Saramanda Swigart

    Typographie et identité

    L'article du New York Times de John Eligon, « Un débat sur l'identité et la race demande : les Afro-Américains sont-ils « noirs » ou « noirs » ? » décrit la conversation en cours entre journalistes et universitaires concernant les conventions d'écriture sur la race, en particulier la question de savoir s'il faut ou non mettre le « b » en « noir » en majuscule lorsqu'on fait référence aux Afro-Américains (terme qui est lui-même démodé). (Remarque : La première phrase introduit le texte auquel cet essai répondra et donne un bref résumé du contenu du texte.) Eligon soutient que, bien que cela puisse sembler un problème typographique mineur, cette petite différence soulève la question de la façon dont nous envisageons la race aux États-Unis. Des mots comme « noir » ou « blanc » sont-ils de simples adjectifs, des descripteurs de la couleur de la peau ? Ou s'agit-il de noms propres, révélateurs d'un groupe ou d'une identité ethnique ? Eligon observe que jusqu'à récemment, en raison de l'importance du mouvement Black Lives Matter, de nombreuses publications journalistiques et savantes avaient tendance à utiliser un « noir » minuscule, tandis que les médias noirs utilisaient généralement la majuscule « noir ». Il suggère que la balance penche maintenant en faveur du « noir », mais compte tenu des changements passés, l'usage changera probablement à nouveau au fur et à mesure que se poursuit la riche discussion sur la dénomination, l'identité et le pouvoir. (Remarque : l'énoncé de thèse inclut deux idées connexes explorées par Eligon : la tendance actuelle à utiliser le « noir » et la valeur de la discussion continue qui conduit à changer de termes.)

    Eligon met en évidence toute une série de preuves selon lesquelles le terme « noir » est en train de devenir la norme, y compris un récent changement apporté par « des centaines d'agences de presse », dont l'Associated Press. Cela fait suite à l'assassinat de George Floyd, mais s'inscrit également dans une longue tradition de presse noire illustrée par des journaux tels que The New York Amsterdam News. Eligon cite plusieurs universitaires éminents qui commencent également à capitaliser Black. Cependant, il cite également d'éminents opposants et décrit divers contre-arguments, comme l'idée que la capitalisation donne trop de dignité à une catégorie créée pour opprimer les gens. (Note : Résumé d'un contre-argument.) La capitalisation du noir soulève une autre question délicate : les blancs ne devraient-ils pas être capitalisés de la même manière ? Eligon souligne que les groupes les plus enthousiastes à l'idée de capitaliser sur White semblent être des suprémacistes blancs, et les organes de presse veulent éviter cette association. (Remarque : le choix des « points » indique que tout le monde serait d'accord pour dire que la plupart des groupes suprémacistes blancs capitalisent sur les blancs.)

    La brève histoire d'Eligon sur le débat sur les étiquettes raciales, de « nègre » et « de couleur » à « afro-américain » et « personne de couleur », pose la question de capitaliser ou de ne pas capitaliser dans un contexte plus large, investissant ce qui peut sembler être une querelle mineure pour les éditeurs ayant le plus grand poids de l'identité raciale et son évolution au fil du temps. (Remarque : ce paragraphe met l'accent sur les tendances et les débats actuels plutôt que sur les tendances et débats passés.) Il décrit des désaccords similaires sur le choix des mots et les étiquettes raciales par des universitaires et des militants tels que Fannie Barrier Williams et W.E.B. Du Bois concernant des termes désormais désuets tels que « nègre » et « coloré ». Ces dirigeants ont débattu de la question de savoir si les étiquettes à connotation négative devaient être remplacées ou si elles devaient être adoptées et revêtues d'une nouvelle connotation positive. (Remarque : Ce paragraphe résume les exemples historiques donnés par Eligon. Des phrases comme « Il cite » indiquent que certaines idées sont utilisées pour étayer une affirmation.) Eligon observe que le mot « noir » d'aujourd'hui était autrefois utilisé à des fins péjoratives, mais qu'il a été promu par le mouvement Black Power à partir de la fin des années 1960, tout comme le mot « nègre » a été repris en tant que mot positif. (Remarque : résumé d'une tendance historique qui correspond à la tendance actuelle.) Cependant, le révérend Jesse Jackson a également réussi à préconiser un terme plus neutre, « afro-américain », à la fin des années 1980. Il a jugé plus approprié de mettre l'accent sur un héritage ethnique partagé plutôt que sur la couleur. (Note : Résumé d'une contre-tendance historique basé sur un contre-argument à l'idée de récupérer des termes négatifs.) Eligon suggère que cet argument continue de plaire à certains aujourd'hui, mais que de tels termes se sont révélés inadéquats compte tenu de la diversité du patrimoine ethnique. Les « Afro-Américains » et les « personnes/personnes de couleur » plus généralisés ne donnent pas d'informations suffisamment précises ou spécifiques. (Note : Décrit une réponse au contre-argument, une justification de la tendance actuelle vers les Noirs.)

    En fin de compte, Eligon fait appel à l'intuition personnelle pour aider les membres de la communauté noire aux prises avec ces questions. Il décrit l'expérience de la sociologue Crystal M. Fleming, dont l'utilisation du mot « noir » minuscule s'est transformé en « noir » majuscule au cours de sa carrière et de ses années de recherche. Sa transition du noir au noir est, selon elle, autant une question de choix personnel qu'une conclusion raisonnée, ce qui laisse entendre qu'il appartiendra aux journalistes et aux universitaires noirs de déterminer les conventions de demain. (Remarque : Cette dernière phrase de ce paragraphe de résumé se concentre sur la conclusion d'Eligon, son argument implicite sur ce qui devrait guider le choix des termes.

    Ouvrages cités

    (Remarque : la page Œuvres citées utilise le style de documentation MLA adapté à un cours d'anglais.)

    Eligon, John. « Un débat sur l'identité et la race pose la question suivante : les Afro-Américains sont-ils « noirs » ou « noirs » ? » The New York Times, 26 juin 2020. https://www.nytimes.com/2020/06/26/us/black-african-american-style - debate.html ? action=click&module=Top%20Stories&pgtype=page d'accueil


    Attribution

    Cet exemple d'essai a été écrit et annoté par Saramanda Swigart et édité par Anna Mills. Sous licence CC BY-NC 4.0.