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15 : Le système nerveux autonome

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    Le système nerveux autonome est souvent associé à la « réaction de combat ou de fuite », qui fait référence à la préparation du corps à fuir une menace ou à se battre face à cette menace. Pour suggérer ce que cela signifie, considérez la situation (très improbable) de voir une lionne chasser dans la savane. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une menace courante à laquelle les humains sont confrontés dans le monde moderne, elle représente le type d'environnement dans lequel l'espèce humaine a prospéré et s'est adaptée. La propagation des humains à travers le monde jusqu'à l'état actuel de l'ère moderne s'est produite beaucoup plus rapidement que n'importe quelle espèce ne pourrait s'adapter aux pressions environnementales telles que les prédateurs. Cependant, les réactions des humains modernes dans le monde moderne sont basées sur ces situations préhistoriques. Si votre patron marche dans le couloir le vendredi après-midi à la recherche de « volontaires » pour venir le week-end, votre réponse est la même que celle d'un humain préhistorique voyant la lionne traverser la savane en courant : combat ou fuite.

    • 15.0 : Prélude au système nerveux autonome
      Le système nerveux autonome ne se limite pas à répondre aux menaces. Outre la réaction de combat ou de fuite, il existe des réponses appelées « repos et digestion ». Si cette lionne réussit sa chasse, elle se reposera de l'effort. Son rythme cardiaque va ralentir. La respiration redeviendra normale. Le système digestif a un gros travail à accomplir. Une grande partie de la fonction du système autonome repose sur les connexions au sein d'un réflexe autonome ou viscéral.
    • 15.1 : Divisions du système nerveux autonome
      Le système nerveux peut être divisé en deux parties fonctionnelles : le système nerveux somatique et le système nerveux autonome. Le système nerveux somatique provoque la contraction des muscles squelettiques. Le système nerveux autonome contrôle les muscles cardiaques et lisses, ainsi que le tissu glandulaire. Le système nerveux somatique est associé à des réponses volontaires et le système nerveux autonome est associé à des réponses involontaires.
    • 15.2 : Réflexes autonomes et homéostasie
      Le système nerveux autonome régule les systèmes organiques par le biais de circuits qui ressemblent aux réflexes décrits dans le système nerveux somatique. La principale différence entre les systèmes somatique et autonome réside dans les tissus cibles qui sont des effecteurs. Les réponses somatiques sont uniquement basées sur la contraction des muscles squelettiques. Le système autonome cible toutefois les muscles cardiaques et lisses, ainsi que le tissu glandulaire.
    • 15.3 : Contrôle central
      Le contrôle autonome est basé sur les réflexes viscéraux, composés des branches afférente et efférente. Ces mécanismes homéostatiques sont basés sur l'équilibre entre les deux divisions du système autonome, ce qui se traduit par un tonus pour divers organes basé sur l'apport prédominant des systèmes sympathique ou parasympathique. La coordination de cet équilibre nécessite une intégration qui commence par les structures du cerveau antérieur, comme l'hypothalamus, et se poursuit dans le tronc cérébral et la moelle épinière.
    • 15.4 : Médicaments qui affectent le système autonome
      L'étude des effets des médicaments pharmaceutiques est un moyen important de comprendre les effets des substances neurochimiques natives sur le système autonome. Cela peut être considéré en fonction de la façon dont les médicaments modifient la fonction autonome. Ces effets seront principalement basés sur la façon dont les médicaments agissent sur les récepteurs de la neurochimie du système autonome. Les molécules de signalisation du système nerveux interagissent avec les protéines présentes dans les membranes cellulaires de diverses cellules cibles.